Avant-post de Minor en Orisi, frontière de Vérond. (Privé)

'' Mon fils, te rappel-tu ce que je t'ai enseigner avant de quitter notre belle cité ? Ne laisse pas la peur prendre par de ton coeur, ne la laisse pas corrompe la lumière qui brille en toi et en ta descendance. Beaucoup d'épreuve ce dresseront sur ton chemin et il te faudra les affronter avec courage, notre déesse à mis sa confiance en toi Koizen. Je serais toujours à tes cotés pour combattre l'ombre qui s'étant à mesure sur ce monde que nous tentons de protéger, qu'il soit pour l'âge des hommes ou encore de toute créature méritant l'amour de notre Déesse. Je t'aime fils. ''

Réveiller en sursaut, sueur au front et le regard inquiète fixant le plafond de la tente militaire, l'archi-druide venait d'être tirer à nouveau de sa profonde méditation. Observant tout autour de lui les éléments toujours bien en place de la vieille, il s'attarda un moment le regard plongé dans le vide de l'entré de sa tente. Il avait beau essayer de s'y faire malgré les semaines qui avait passé, ses rêves n'arrêtait pas de le hanté depuis la convalescence de son père.

Argawen Galanodel, Général de la Lance d'Argent et Conseiller à la table des douze avait tomber lors de l’assaut porté contre l'un des nombreux avant poste de l’envahisseur Flactiens. Plusieurs cru qu'il ne s'en sortirais point compte tenu ses nombreuses blessure et les coups violant qu'il subit lors de l'affrontement, il fût envoyer dès que possible avec l'une des unités d'elfe sauvage à la cité de Minor pour tenter de lui sauvé la vie. Depuis près d'une semaine que Koizen n'avait eux de nouvelle de la part des gens de la cité, ses craintes ce confirmait lorsqu'il reçus de la part de l'adjoint de son paternel l'écharpe familial, symbole de la maison des Galanodel. Le coeur encore lourd de chagrin l'archi-druide n'avais pas d'autre choix que de continuer le combat mener actuellement en Orisi. Ne pouvant rejoindre sa douce moitié rester à Cercesse pour l'éducation de leurs fils Eldarion, l'Archi-druide ne s'étant jamais senti aussi seul.

Essayant de chasser ce mauvais souvenir emplis de tristesse de sa tête, il n'avait point remarquer l'intrusion à l'intérieur de sa tente normalement garder par les sentinelles à l'extérieur. Vêtu d'une élégante toge de Conseiller ainsi qu'un manteau de couleur bleuté au symbole arcanique fort complexe, un jeune elfe ce tenant devant celui qu'il désigna telle son beau-frère. Gilthanas était enfin revenu de sa mission , déjà plus de quelques jours avait passé après le dit rendez-vous mystérieux à une certains auberge en Arkol, le druide avait bien hâte d'entendre ce qu'il s'y était passé et avec chance aurais des nouvelles des gens, amis et connaissance qu'il avait qui était rester derrière depuis tout ce temps. L'elfe d'argent s'avança et lança un mot de commandement au bâton qu'il tenais fermement entre ses mains, une douce lueur bleuté éclaira la tente et fit découvrir le visage du Champion, encore ruisselant de larme contrairement à celui du magicien auquel on pouvais visiblement voir des écailles d'argent. Le frère d'Anariel pris la parole à la vu de son beau frère essuyant ses larmes par le rebord de sa toge.

- Bien le bonsoir chère Beau-frère, je t'apporte de bonnes et mauvaises nouvelle en provenance d'Arkol. Et ne devrais-tu pas utiliser un mouchoir, cela serais nettement plus propre que le revers de ta toge ...

- Viens en au but Gilthanas, raconte moi tout et ce dans les moindres détails. Je ne serais pas d'humeur à plaisanter longtemps.

Le magicien ce mis alors à raconter depuis le début les évènements de la soirée, de sa rencontre avec le Clan Minamoto et la signature du traiter d'allégeance. Il raconta toutefois avec un sourire moqueur la réaction des gens qui commenta sur l'absence de l'archi-druide, laissant ce dernier paraître pour un lâche ou pire encore comme étant quelqu'un mis à part du conflit. Ceci révolta le druide intérieurement mais laissant tout de même continuer le monologue de son beau-frère, il lui raconta ensuite les longues conversations avec quelques résistants et sur ce qu'il vu durant la soirée à propos d'un certains magiciens de l'Ordre Blanche. Mais lorsqu'il ce mis à raconter les évènements passé avec Mandolin et leurs conversations sur les objectifs des Calendhrims, Koizen ce leva d'un bon , la rage au yeux et lança le plus mauvais des regard à son imbécile de beau-frère.

- Que leurs as-tu dit ?! Ai-je bien entendu ?! Avec ce beau discours d'imbécile tout droit sorti de la bouche des Haut Conseillers ils ne placerons plus aucune confiance en les notre. Pourquoi as-tu été leurs dire cela contrairement à ce que je t'ai demander de leurs dire ?

L'arcaniste sourie d'un air moqueur et mesquin, il avait réussie à faire sortir de ses gonds son beau frère et ce délectais de cet prise d'image mental. Combien de fois avait t-il été heureux de rendre ridicule son beau frère ? Il n'avais jamais compris ce qu'avait trouver Anariel à cet elfe de seconde zone, indique du rang auquel il à droit à ce jour. Gilthanas avait souvent détester les membres de la famille des Galanodels et ce depuis maintes génération. Mais lors de cet instant il savait qu'il ne devais point poussé les limites du druide, même s'il savait que ce dernier ne pouvant lui faire de mal ... après tout il était le frère de sa femme, et elle serais terriblement chagriner de voir son frère persécuter par son mari, de ce fait il jouait avec le feu mais jamais assez pour ce brûler.

- Ahhh mais, je croyais que la voix du Conseil était absolue mon chère Beau-frère ! J'ignorais jusqu'à là que les ordres avaient changé ... tu m'envois navré, je crois que cela va crée de nombreux mal entendu entre vous et la R.A.F , j'ai cru faire de mon mieux et ce dans les intérêts de notre peuple. J'imagine que tu en aurais fait autant non ? Puisque ta patrie te tiens tellement à coeur ...

Cet fois-ci l'archi-druide en avait plus qu'assez, les mots sortent de la bouche du magiciens étant aussi vile et pire que le poison au oreilles de Koizen. Un violant coup de vent ce leva et fut tourbillonner la paperasse et vibrer les objets à l'intérieur de la tente, les éléments de la nature réagissait désormais en symbiose avec les émotions de son Champion et à cet instant la rage commençait à prendre place dans le coeur de son porteur.

- Tu as failli à ta tâche ! Tu m'a désobéi et tu n'est pas excuser par la défaite du Haut Conseil. Depuis la fondation des Calendhrims ils ont toujours été en opposition avec beaucoup de mes décisions et d'avantage depuis le début de la guerre avec l'armée Flactienne. Tu savait tout cela et tu as brimé ma confiance ... J'aime mon peuple plus que tout au monde mais contrairement à certains d'entre vous je n'irais jamais cracher au visage de l'amitié, qu'il soit avec un humain ou encore avec toute autre créature prête à prendre les armes pour le bien de la Lumière en ce monde.

- Oui certes, je le sais bien mon chère Koizen, après tout ... tu est bien l'ami d'un ... de ces dégoûtant elfe noir ou encore de bête puante telle la racaille d'orque. (Il cracha à ses pieds) Non mon beau-frère parfois j'ai du mal à comprendre certaines de tes décisions ... il me semblais bien plus juste de suivre celui de notre peuple ... celui du Conseil et non celui d'un être qui semble croire que la '' Lumière '' peu naître au sein des plus viles créatures. La lumière ne peu exister en ces êtres indignes de la bonté de notre Déesse.

À l'extérieur, l'on puis entendre un puissant coup de tonner gronder et frapper quelques part, nul n'aurais plus dire si cela était du à la frustration d'un druide ou encore à la nature elle-même. L'archi-druide baissa la tête fixant à nouveau le vide pour éviter tenter de rester concentrer. Son beau-frère avait dépasser les bornes, de nouveau la rage mêler à l'inquiétude ce pris à ses pensés. Dehors l'on pouvais sentir une fines pluie commencer à tomber.

- Maintenant part, sort d'ici ...

- Bien entendu, mon chère beau-frère. Tu sais ou me trouver si tu as besoin de moi ou encore d'un mouchoir pour sécher tes larmes ... tu devrais arrêter d'agir ainsi, tu me fait trop pensé au humains parfois.

Gilthanas ce retourna et éteignis la lueur de son bâton magique, puis pris la direction de la sorti de la tente, laissant derrière lui un druide qui fixant toujours le sol, perdu dans ses pensés. Une fois à l'extérieur, le mage d'argent souleva sa tête en direction du ciel et murmura pour lui-même : '' Pourquoi as t-il été choisi ? Pourquoi lui ? Il n'a pas l'étoffe de cet responsabilité ... Oh Vérénor ... " Plaçant sa rune de téléportation en face de lui, le mage d'azure disparue en un moindre temps en direction de Cercesse. Dans le pénombre de la tente militaire, Koizen s'étant désormais mis en place pour ramasser toute la paperasse laisser tomber par le vent de sa fureur, mais la dernière phrase de Gilthanas lui restèrent en tête.

- Plus près d'un humain ? Je suis plus près d'un de ma race que tu ne saurais l'être Gilthanas ...

Le Champion pris une pause, méditant sur cet phrase qu'il venait tout juste de lancer dans le vide, trop tard pour être entendu de la part des oreilles de son frère de sang. Il ce sentait à nouveau seul et loin des gens qu'il appréciait et aimais le plus, la présence de son père durant tout le long de la campagne de guerre lui manquait tout en plus de celle de sa douce femme. Dans des temps aussi sombres que ceux-ci, son fidèle ami et frère d'arme Isaac lui aurais suffit à lui remonté le moral, mais hélas ce dernier ne lui avait pas remis de ses nouvelles depuis maintes années.

Nombre de messages : 266 Age : 36 Date d'inscription : 14/08/2009

[i]Un humain, agée, cheveux argenté, arriva dans la pièce, bâton en main. Il regarda l'elfe à son bureau. Il avait voyager pendant plus de dix longues années. Il avait l'air de la cinquantaine pratiquement, lui qui devait qu’être qu'a la mi trentaine. Maudit soit Zirk et son poison. Le sage toussa quelques peu et parla d'une voix enroué.

''La jeunesse éternelle est une bénédiction, le coeur qui en flétri malgré tout, est votre plus grande malédiction.''

Le vieil homme s'assit sur la chaise face au bureau de l'elfe pour ses invitées. Illianis devait traîner encore avec Istari. En tant qu’humanoïde avec plus que la moitié en sang elfique, il se sentais plus près des elfes que des humains. Evidemment, son père était l'exception à la règle. Lui qui savais parler elfique, ses amis proches était elfiques, sa femme était demi-elfe. Isaac à user de ses pouvoir pour le faire vieillir un peu plus vite... Ce qui lui, l'as fait vieillir plus vite. Il en avait perdu grandement ses pouvoirs dans le procéder, en transmettant une partie à son fils.

''Désolé, je n'ai pas eu le temps de t'écrire. Je ne voulais pas courir de risque. Quand j'ai essayer de te contacter, tu était sous la barrière des tiens. Un humain comme moi, ne pouvait y pénétrer... Après tout, que prone les flactiens sinon la supériorité humaine. Je sens une haine, une ranceur envers les humains de la part de toute les autres races...

La surprise fût total, quasiment de manière instantané lorsque l'elfe leva le visage sur l'étranger qui venait de franchir le portail de la tente. Le hasard fessant drôlement les choses, aussitôt qu'il avait songé à ceux auquel il lui manquait voilà que l'un d'eux ce présenta, quel dommage ce dit t-il à la fois pour ceux depuis longtemps disparue telle que Hexalion ou encore son père.

Sortant de sa surprise il invita son ami à prendre siège à son bureau, lui désignant la chaise en face de lui. Le voyant s’asseoir l'archi-druide fut frapper par l'étonnement et la surprise lorsqu'il s'aperçus que son invité avait radicalement vieilli. Il avait garder peu de contact avec Minor depuis leurs première apparitions il y avais maintes années, mais l'une de ses correspondances les plus étendu de cet cité étant le chef de la milice local, qui lui avait écrit pour demander conseil à propos du changement occasionner au maître psionnique. Mais cet lettre fût lu malheureusement bien tard, depuis la fermeture des portes de la Cité-Mère des elfes, les communications ayant été aussitôt rompu avec le monde extérieur durant plusieurs mois, parfois même semble t-il selon certaines personnes des années ... mais après tout que représentait une année pour la vie d'un elfe ? Rien de plus ni moins qu'une saison pour quelqu'un de l'âge des Hommes.

Relisant mentalement la lettre qu'il avait reçus, ce remémorant les détails poignant il ne ce serais jamais autant attendu à voir cet effet si ... grave. L'elfe cru tout d'abord qu'Isaac avait tout simplement vieilli comme toute humains bien normal, mais en le voyant de ses propres yeux il pouvait maintenant y voir le vile maléfice de soit la magie, soit la malédiction porté à la pointe d'une dague bien affûté connu du passé. Il ce rappela que dans la lecture, Issac fit mention d'un être nommé Zirk, un rude personnage toute aussi sombre que les vêtements qu'il abordait autrefois, le coeur aussi maléfique que Rashek lui-même, oui cet homme l'elfe l'avait bien connu mais à des jours meilleurs. Fixant le Maître Psion droit dans les yeux, il écouta ce qu'il avait à dire. Cet phrase avait éveiller en lui l'espèce d'incompréhension qu'il y avait toujours dans le regard des elfes lorsque l'on parlais du temps ... le temps est une chose si chimère à leurs yeux malgré qu'il peuvent leurs être précieux si le besoin le demande ... Isaac avait peu être en apparence pris beaucoup de temps et de changement, mais son esprit lui resta toutefois encore plus sage.

Le psion avait raison, la haine de la race humaine ce fit de plus en plus sentir à travers le monde entier, ceci étant une chose très facilement explicable pour certaines et incompréhensif pour d'autre. La Cours Elfique elle-même as sombré dans cet Xénophobie, encore bien plus qu'ils ne l'étaient déjà, et misèrent rarement leurs confiances avec le peuples des Hommes, car pour eux la seul chose que cet guerre leurs démontra une fois de plus est bien que le coeur des hommes est parfois si facilement corruptible. Bien que ces dernier travaille en étroite collaboration avec les Armées insoumises d'Orisi ou encore de Vérond, leurs confiances reste toutefois facile à perdre. Chassant de ses pensés ses thèses et hypothèse sur l'univers qui l'entourait, l'elfe ce mis à ce concentrer sur l'arrivé de son chère ami de toujours.

- Je comprend parfaitement mon chère ami, le temps est une notion ici bas souvent remise en question par les miens, mais pour moi trop de temps c'étant écouler depuis notre séparation. Je suis très heureux de te revoir malgré l'inquiétude qui me ronge en voyant l'état du temps sur ta personne. J'y ai lu il y a longtemps une lettre concernant ton état et fût d'avantage inquiet, lorsque j'ai renvoyer une réponse je n'ai plus rien reçus de la part de Minor, il semblerais que tu ai voyager durant un certain temps.

Le Champion de Vérénor détourna son regard pour s'attarder à un rapide coup d'oeil sur son bureau. L'on pouvais y voir beaucoup de paperasse, de lettres avec de nombreux sceaux ou encore des plans de construction et de manœuvre de guerre. Toutefois parmi toute ces lettres il y en avait une sur lequel y était inscrit toute au bas de la page le nom de sa douce épouses, sa femme lui manquais et ses enfants aussi. Sans lever les yeux de sur la lettre, comme perdu dans les nuages, il ce mis à parler d'un air plus calme.

- Ou sont mes manières ... comment va-tu mon chère ami ? Comment m'as-tu retrouvé ? Et encore plus important, comment ce porte ta famille ? Les as-tu revus ?

L'on pouvais sentir au fond de la voix de l'elfe un semblant de mélancolie, de solitude, lui n'avais pas revus la siennes depuis fort longtemps, il manquait de jour en jour voir grandir son dernier fils. Les rares fois ou il avait l'autorisation de retourné à Cercesse ce fût pour passé devant le Conseil, il ne vu que partiellement grandir Eldarion et fût terriblement attrister d'apprendre par la suite l'année dernière que son fils Nathaniel avait quitter la Cours pour partir sans demander son reste.

Nombre de messages : 266 Age : 36 Date d'inscription : 14/08/2009

[i]Isaac reprit son souffle, bon sang que son corps se fragilisait malgré lui...Il regarda le bureau enseveli de l'elfe. Il n'avait aucun repos. Il pouvait voyager de longue distance néanmoins, mais il devait pratiquement prendre une demi-journée de repos. Le temps, cette notion rappellant l'importance de chaque jour. Les beaux souvenirs à chérir, et les dures épreuves surmontés. La vie même est un trésor en soi. Chaque personne se doit de chérir et d'être le plus heureux possible... Pas que la vie ne se termine au bout de larmes et dans la détresse.

Il se rappela de chaque moment passé avec Emmanuelle... Les torrides, comme les doux, malgré le fait qu'il aurait voulu passer sa vie avec la demi-elfe, l'entendre chanter, la voir danser, voir son sourire... Le destin est si cruel... Il avait perdu la femme à qui il avait donner le plus. Il avait au moins, une autre raison de vivre. Il devait continuer de l'avant, laissant l'amour derrière pour d'autre gens...

-J'ai voyager avec Illianis, mon frère Cameron et ma douce Emmanuelle... Et bien... Voila longtemps que Vérénor a reclamé leurs corps et sont auprès de Talinas. J'ai entrainé mon fils, et user de mes pouvoir pour le faire prendre de l'age un peu plus rapidement... Il devrai être apte de se battre d'ici un ou deux printemps.

Illianis avait démontré quelques aptitudes psionique mais, comme son grand-père Marcus, il était principalement, psychio-physique. Parfait pour un guerrier psionique. Il avait dix ans, mais semblait en avoir quatorze. Dieux merci, il avait une vie beaucoup plus longue devant lui... Quand l'assassin lui avait dit que leur mère était demi-elfe, le sage psionique n'en croyait pas ses oreilles. Donc... Illianis allait vivre longtemps. Et avec les espoirs du père et ses efforts, il attendais un avenir brillant pour son fils.

L'elfe écouta les tristes nouvelles de son vieille ami, lui aussi avait perdu des gens qui lui étaient chère et pouvais belle et bien compatir avec lui. Parfois la Déesse joue un rôle tantôt merveilleux, servant la vie et la beauté de ce monde ... parfois elle deviens froide et triste, laissant la mort et la destructions de nombreuses vie derrière elle, même pour son Champion ses actes ne lui seront jamais vraiment compris malgré le cycle de la vie.

- Ton fils à déjà tant grandit ? Il faudra nous le présenter à moi et ma famille, de plus lui et Eldarion sont dans la même tranche d'âge, ils seront peu être bon amis comme toi et moi nous le sommes.

Ce levant d'un geste lent et cérémonial, il ce mis à marcher vers l'un coffre mis en dessous de son lit. Il revenait s’asseoir, plaçant devant lui et son invité deux magnifique coupe sculpter dans l'argent et le fer blanc. Puis il y versa dans chacune d'elles, un alcool d'une couleur qui ce voulais près de l'or et à l’arôme fruité, cette bouteille étant elle-même d'une beauté sans égales révélais en soit une cérémonie. Cet alcool avait pour but précis de souligner la mémoire des gens que l'on aime tant et qui nous manques lors de leurs départ, après avoir terminer la coupe les gens ressentent souvent un grand moment de paix intérieur, ceci étant dit c'était l'effet magique de l'alcool produit uniquement dans les champs de Cercesse.

Il tandis une coupe en direction d'Issac, bien qu'il ne soit pas très habituer au coutumes elfique il devait sans doute ce rappeler de l'importance de cet coutume, même chez les peuples nains ou encore humains beaucoup de gens en fessait des semblables, tant pour d'heureux évènements que pour les plus mauvais. L'archi-druide pris le verre et le leva bien haut au dessus, invitant Isaac d'en faire de même et ce joindre au rituel.

- Govano in nothrim în adh i mellyn în mi Mannos ...

Il pris un un petit instant de silence, puis rejoignis sa coupe à celle de son ami.

- Buvons à la santé de ceux qui jamais ne quitterons notre coeur et que pour toujours restent dans notre mémoire. Pour toi, Père ... Novaer.

Portant la coupe à ses lèvres, le druide ce mis à ce rappeler les bons souvenir, ceux qu'il fusent à jamais garder en sa mémoire, les temps heureux passé au cotés de son paternel. Puis levant les yeux de sa coupe, il adressa à Isaac un de ses rare sourire depuis les dernières semaines, rajoutant cet phrase à son intention : Le vellon nîn n'uir (Pour toujours, tu est mon ami).

- Désormais buvons maintenant à ceux qui nous sont chère, pour qui notre combat de tout les jours dans ce monde dévaster par le désespoir et la peur nous aide à apporter la Lumière.

L'elfe finassa sa coupe d'une traite, laissant l'effet de la boisson envahir son corps, le rendant désormais beaucoup plus calme que l'heure passé lorsqu'il avait vu son beau-frère et son lot de mauvaise nouvelle. À l'extérieur le vent soufflait légèrement, sans toutefois arrêter la fine pluie qui s'y déversait encore.

Nombre de messages : 266 Age : 36 Date d'inscription : 14/08/2009

L'idée de voir son fils avec des elfes, et des enfants de son âge lui fit chaud au coeur. Il méritait un peu de simplicité et d'innoncence enfantile après tout ces voyages... Istari devait encore s'entrainer contre lui a l'épée. Cette enfant aura une maturité hors du commun. D'ou le pourquoi Isaac avait forcer la croissance un peu de son fils, tant d'année dans le néan, pour un meilleur avenir. Si Isaac vint a mourir, il voulait que son fils ai une demeure.

Effectivement, mais j'ai malencontreusement du pousser sa croissance... Ce qui n'as pas aider mon état. J'aurais une demande... Si tu pourrais justement faire d'Illianis un citoyen de Cercesse si il m'arrivait quelques chose... Ma condition peut me prendre la vie à tout moment...

Si seulement il pouvait trouver un elexir lui ramenant sa jeunesse d'antant... Mais le temps et la jeunesse en bouteille est digne d'une création divine. Intérieurement, Isaac priais Vérénor de lui envoyer un tel cadeau... Mais il se doute qu'un tel voeux lui soit accorder... Même pour le bien des gens. Isaac était un homme de principe et même si il failli dévié du bon chemin, il y demeura, quitte à boiter.

Il regarda son ami elfe prendre des coupes, les versés d'un liquide doré. Ayant perdu quelque peu de sa connaissance en language elfique, cela aussi transmit de son esprit a celui de son fils, il ne fit qu'hoché de la tête à la fin des paroles de Koizen. Des images tristes semblait flotter autours de Koizen, un elfe de grande stature, un guerrier dans l'âme... Quand son hôte parla de son père, il comprit. Quand le druide leva son vers a leurs amitié, Le sage psionique en fit autant.

''Depuis la prison glacée des ombres...

Il but son verre, se rappellant de ses amis depuis le début de l'histoire. Hexalion, Raphael, Elios, les Kinshiros, ces frequentations dans le cercle d'émeraude. Maitre moine, Elixa, Kilrock, les Calhendrims. Qui avait survécu au final? Peu importe, il buvait à leur santé ou a leurs bonheur dans l'au-dela si certains y sont.

Nombre de messages : 144 Age : 43 Date d'inscription : 13/05/2009

Décidément, la température était étrangement changeante aujourd'hui... La journée avait commencé sous un ciel gris, mais sans signe d'averse réellement inquiétant. Puis rapidement certains nuages s'étaient alourdis, noircissant et laissant échapper tonnerre et éclairs -comme si la nature voulait exprimer son mécontentement- pour finalement libérer un crachin morne semblant étrangement localisé sur la portion du campement militaire elfique attribué aux tentes des officiers supérieurs. Et puis, encore une fois, tout avait changé sans réel avertissement, la pluie cessant et le soleil perçant même par endroit la voûte nuageuse. Un rayon de soleil tombait même directement sur la tente vers laquelle le templier se dirigeait d'un bon pas.

Talmir décida d'y voir un signe de Talinas, la déesse de lumière permettait sans doute ainsi à son champion d'arriver à destination baigné de sa radieuse clarté. Le templier s'arrêta brièvement avant d'atteindre les sentinelles montant la garde devant la tente pour repousser sa camaille sr ses épaules et secouer sa chevelure trempée. Son tabar -trempé par l'averse- collait à son armure de plate, mais était d'une propreté resplendissante, car la pluie avait pu chasser efficacement les souillures du voyage.

Il adressa un signe de têtes aux deux gardes, pour les saluer. Ces derniers reconnurent sans peine le templier, même si sa dernière visite remontait déjà à plusieurs mois. Mais après tout, qu'est-ce qu'était quelques mois dans la vie d'un elfe?

Ou même dans le mienne, depuis que Talinas m'a choisi comme champion, ne put s'empêcher de penser avec un brin d'ironie le prêtre-sorcier qui ne semblait pas avoir gagné ne serait-ce qu'une seule année depuis que sa déesse lui avait demandé de porter son épée...

Bien qu'il ne soit "qu'un humain", le templier avait réussi à aquérir un certain respect auprès de certains elfes, tout particulièrement ceux avec lesquels il avait combattu côte à côte, comme c'était le cas de la plupart de ceux présent dans ce campement militaire. Les deux vigiles lui rendirent donc sa salutation d'un hochement de tête discret et lui signifièrent qu'il pouvait entrer en lui libérant le passage.

Étrange qu'ils n'annoncent pas ma présence cette fois... ne put s'empêcher de penser l'humain. Et était-ce une lueur amusée qu'il percevait dans leur regard?

Haussant les épaules, Talmir franchit les pans de la tentes et s'apperçu que l'Archi-druide qu'il venait voir n'était pas seul. À première vue il eut l'impression qu'il devrait reconnaitre l'autre occupant de la tente, mais il ne parvenait pas l'identifier... Pourtant il ne connaissait pas tant de vieillard! Constatant que le druide et l'étranger avaient à la main une coupe ouvragée, le templier se sentit fort déconvenu en réalisant qu'il venait probablement d'interrompre un tête à tête possiblement important.

-"Oh, vous n'êtes pas seul! Désolé de vous interrompre ainsi, vos gardes m'ont tout bonnement indiqué que je pouvais entrer! Je ne voulais pas vous déranger!"

Une légère percer de lumière fit interruption par les volets de la tente militaire, attirant l'attention du druide vers l'entré et y découvrant une charmante surprise. Le templier de la Lumière arriva tremper certes, mais apportant toujours avec lui la bonne humeur et les rayons du soleil, de ce fait il en rie intérieurement car cet image de son chère ami Talmir avait été causé par sa mélancolie, donc en quelque sorte de sa faute. Ce levant d'un bond, il s'avança vers son nouvelle invité les bras tendu pour lui prêter l'un des rares contactes physique que les elfes ce permettait, il pris le templier dans ses bras.

- Je suis très heureux de te revoir mon chère ami. Je vois que la route à été ... dure pour toi non ? Viens ici par ici, je vais dans l'immédiat allumer un bon feu pour te permettre de te réchauffer, après tout nous sommes tous entre ami ici.

L'elfe s'avança vers le centre de la grande tente, il y avais un petit rond point en fer forger pouvant y contenir un petit feu histoire de réchauffer son propriétaire. Il leva la main au dessus du foyer et sans la moindre incantation il fit un son telle le claquement d'un fouet, une longue lueur rouge s'évadais de la main de son porteur droit en direction des dernières bûches qui restèrent au fond, ces dernières prirent feu. Les druides avaient l'habitude de contrôler les quatre éléments donner par Mère Nature. Il invita le Porteur de Lumière à s'approcher du feu, quand à l'elfe il parti quérir quelques sièges autour de la table.

- Ah, Isaac ... pourrais-tu m'aider ? Prend un peu de ce bois entassé dans le coin, nous en aurons bien de besoin pour le feu et viens nous rejoindre. Je demanderais à mes gardes de nous apporté quelques nourritures pour accompagner nos retrouvailles.

L'archi-druide passa rapidement d'un endroit à l'autre, laissant ses deux invités s'approcher et prendre place confortablement près du feu. Sortant légèrement la tête de la tente, il ordonna dans sa langue natal à l'un de ses gardes d'aller chercher un plateau pour lui et ses invités. Lorsqu'il revenu auprès de ses amis, il tira son fauteuil surmonté de peau de loup, après tout malgré le luxe de la Cours Elfique, Koizen restait un Laiquendi, ce qui ce traduit de l'elfique comme étant un elfe sauvage. Il n'avais pas passé le cap des deux petites minutes que deux ravissante aide de camps arrivèrent avec de somptueux plateau d'argent remplis de fruit, de viande sécher, d'une corbeille à pain et de beurre au miel. Les remerciant courtoisement, l'elfes leurs demandèrent de prendre congé et ramassait une nouvelle coupe de vin qu'il offrit à ses amis. Il ce retourna pour trinquer avec Isaac puis avec Talmir, à qui il lui fit des yeux très interrogateur, après tout il fréquentais sa propre soeur.

- Alors mon chère ami, comment va-tu ? Il y a un petit moment que je ne t'ai pas revu. Comment va ma chère soeur de ce fait même ?

Il adressa un malin sourire, rien de telle pour mettre au plus grand des malaises son compagnons d'arme. Koizen avait toujours été si protecteur avec sa jeune soeur et désormais l'était à l'égard de Talmir, car au sein de sa famille l'un de ses frères désapprouvais la propable unions entre l'humain qu'il était et la pure race elfique que représentait leurs chères petites soeur. Il adressa un discret clin d'oeil au Maître psionnique pour l'amusement qu'une telle situation pouvait crée.

Nombre de messages : 144 Age : 43 Date d'inscription : 13/05/2009

En entendant le nom d'Isaac, le templier reconnu enfin l'homme plus agé qui était présent dans la tente. Il en fut sidéré! Il ne pouvait tout de même pas s'être passé tant d'années? Il avait cotoyé bien davantage les elfes que les hommes ces dernières années, mais est-ce que sa perception du passage du temps aurait pu être faussée à ce point?! Tout en s'approchant du feu il ne put s'empêcher de lancer à l'égard du psionic, sur un ton incrédule:

-"Isaac?! C'est bien toi?? Est-ce qu'il s'est donc passé tant de temps depuis notre dernière rencontre?"

Il eut un pincement au coeur en ajoutant:

-"Les années n'ont pas été tendres avec toi, mon ami..."

Puis la question de Koizen vint ajouter une ombre supplémentaire sur le visage du Théurge de Talinas, qui ne mordit pas à l'hameçon.

-"Je vais bien, comme tu peux le constater... Par contre je ne saurais te donner de nouvelles récentes de Fergus, car cela fait malheureusement plusieurs mois que je ne l'ai pas vu... Elle à du rester à Cercess à cause d'obligation familiale, et moi comme tu le sais déjà j'apporte mon concours à cette guerre qui me tien malheureusement éloigné d'elle bien plus souvent que je ne le voudrais... Je retourne la voir aussi souvent que me le permettent les conflits, mais c'est bien insuffisant."

Le templier secoua la tête de dépit.

-"Mais que pourrais-je donc faire d'autre? Il est impératif de se mêler de cet affrontement, sinon ces rats que sont les Flactiens réussiront à prendre prise partout en ce monde... Et si Orisi finissait par tomber sous leur coupe, leurs regard avide se tournerait à nouveau vers la nation elfique, et malgré la puissance des Anciens, même Cercess risquerait de tomber si elle luttait seule contre le monde entier... Et si cela advenait il n'y aurait plus nul endroit de sûr pour Fergus et pour ceux qui portent en eux la flamme du bien!"

Le templier avait eu le regard dans le vague et un peu mélancolique pendant sa dernière boutade, mais il finit par cligner des yeux et se secouer, la lueur de l'espoir reprenant sa place dans son regard.

-"Heureusement rien n'est encore perdu! Les progrès de l'armée Flactienne s'essouflent, et par endroit nous parvenons même à reprendre du terrain. Et après toutes ces années de guerre mes habiletés guerrières et magiques, autant arcanique que cléricales, sont plus puissantes que jamais! Et la force première de ces chiens de Flactiens, leurs armes à feu, est aussi une de leur plus grande faiblesse!"

Il laissa échapper un rire bref avant de poursuivre d'un ton amusé.

-"Il suffit de se glisser dans leur campement la nuit, sous le couvert de l'invisibilité, et de lancer une petite boule de feu dans leurs réserve de poudre... Je vous laisse imaginer les dégats à leur campement et à leur morale! Et lorsque nos unités d'escarmouche les attaques ensuite, leurs fameuses armes à feu sont totalement inutiles sans cette précieuse poudre! J'ai bien du moi-même leur faire perdre une véritable fortune en poudre à canon de cette façon. Et ces idiots commencent à peine à employer des démonistes, nécromanciens et autres arcanistes ténébreux pour protéger leurs précieux stocks..."

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Quand Talmir entra, Koizen se précipita sur lui. L'acceuillant chaleureusement comme il le faisait toujours a tous ses frères d'armes des Calhendhrims. Mais de la à ignorer à l'arriver la demande d'asile pour son fils, le psion en fut un peu déçu. Quand l'elfe lui demanda, de prendre du bois, les muscles à Isaac lui rappelèrent qu'il avait voyager toute la journée, que son corps ne voulait plus forcer le moindrement. Il balaya quelques morceaux du a sa télékinésie. La surprise de Talmir, ne surprit guère le sage psionique. Sourire en coin.

''Dix ans, mais disons que le destin n'a pas jouer en ma faveur. Et le sablier s'écoule plus rapidement pour moi...

Il écoutais le templier parler de sa douce moitié, pour ensuite en venir à ce qui les as tous amener ici, dans cette situation. La guerre. Ces flactiens, pratiquement sorti d'aucun territoire en générale, mais dominant la plus part du monde connu. Quelle tristesse, Isaac pensait alors qu'il allait surement mourrir avant d'en voir la fin. Le champion de Talinas expliqua qu'il était en train de gagner quelque peu de terrain. Même si Talmir paraissait confiant, le psioniste resta sceptique. Orisi et Cercesse était les deux seuls territoires non flactiens ou presque. Des ilots sont laisser de coté.

''Ce n'est qu'une question de temps avant qu'il reprennent la magie occulte pour accompagnées ses armes à feu. Imaginer si il pouvait y inserer quelques choses d'Autres, par exemple de la magie, pour canaliser l’énergie et frapper nos forces.

Père? Ah, je vous cherchai...Dans la pièce se présenta un jeune demi-elfe ayant l'air d'avoir près de quatorze ans humain, demi-lune dans le front, placé horizontalement, couvrant une partie de ses yeux. Il salua l'elfe et l'autre humain, de manière très polie.

Illianis? N'était-tu point avec Istari?

-Si, mais il sait tout comme moi que vous avez tendance à vous fatigué rapidement après une journée de voyage...

Isaac secoua la tête, cette enfant, directe, mais au bon fond. Il sourit un peu a la situation présente.

''Je vous présente, mon fils unique, Illianis McAllister.

Illianis refit sans cérémonie sa salutation de plutôt.

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Le templier allait répondre au maître psionique lorsque le fils de ce dernier arriva. Haussant un sourcil à l'arrivé de l'adolescent, il ne put toutefois s'empêcher de sourire lorsque ce dernier appela le psion "père". Oui, il y avait bien une certaine ressemblance entre eux, et plus encore entre l'enfant et le Isaac encore jeune des souvenirs de Talmir.

-"Enchanté de faire votre connaissance, Illianis McAllister!" laissa-t-il échapper d'un ton solennel, en lui empoignant le poignet à la manière des guerriers.

Puis il se tourna à nouveau vers le père et hocha la tête d'un air approbateur une lueur dans le regard, avant de reprendre un air plus sobre et un air interrogateur.

-"Que voulez-vous dire par 'Et le sablier s'écoule plus rapidement pour moi...'?"

À la mention d'armes à feu modifiées magiquement, le Templier se rembrunit.

-"Ne vous faites pas un prophète de malheur Isaac... Laissez moi au moins me réjouir quelques temps que la vitesse de leurs conquêtes s'essouffle et que pour UNE fois, depuis ces dix années incessantes de défaites, nous parvenions à les repousser pour le moment. Evidemment ce n'est pas demain que nous parviendrons à libérer le monde de l'empire Flactien, mais au moins maintenant il y a un espoir réel que cela arrive un jour, pas simplement des chimères... Si l'ennemi réussissait vraiment le tour de force d'augmenter leurs pistolets grâce à l'arcane, et qu'ils avaient les ressources d'en généraliser l'usage dans leurs troupes, l'avenir redeviendrait bien sombre..."

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Après la salutation de guerrier, Illianis vint se tenir derrière son père à sa droite, pratiquement en position garde à vous pour les soldats. Quand le Templier demanda en quoi le sablier coulait plus rapidement pour Isaac, le maitre psion soupirait, il devait encore expliquer cette terrible évènement. Vrai qu'après avoir été frapper par le poison, il avait été téléporter à la cité d’émeraude, donc aucun moyen de l'avertir.

''C'est un poison, sadistiquement efficace sur les psion surtout. Plus j'utilise mes pouvoirs... plus je vieilli rapidement... Je contrôle a un certain point la chronokinésie, pouvoir mentale du temps, mais, ce n'est que des sorts, je peux me redonner apparence et vigueur de mon véritable âge un certain temps, mais du au niveau de cette puissance, je vieilli d'un coup a la fin de mon pouvoir...

Illianis, dèrrière avait le visage sombre...

Parcontre... Je peux faire vieillir les autres... Le temps, nous pouvons le perdre, mais jamais le rattrapper... Evidemment, cela aussi m'affecte grandement. Talmir, regarde mon fils. Quelle âge tu pense qu'il a?

Illianis fronça des sourcil, il y avait une raison dèrriere cette croissance. Il voulait aider son père... Isaac écouta Talmir sur la défense et les petites contre-attaque sur les flactiens. Au moins, certains innocents pouvaient respirer un peu plus.

''Désolé mon bon Talmir, Je suis content évidemment d'entendre des messages d'espoir, mais tant que la tache n'est pas complète, les retournement sont toujours possible. Je ne me base plus sur l'espoir depuis des années. Sur ma logique et sur les faits.

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À la mention du poison et de son effet sur le maitre psionique, une lueur de compréhension germa dans le regard du Templier. Lorsque son ami le questionna sur son fils, le templier n'eu aucune hésitation à répondre.

-"Il a l'apparence d'un jeune homme de près d'une quinzaine d'année, mais il ne peut avoir plus de 10 ans... La dernière fois ou nous nous sommes croisé tu n'étais pas déjà père d'un enfant de 5 ans dans mes souvenirs, et comme tu viens de me le confirmer 10 années se sont écoulées depuis..."

Les traits du visage de Talmir se firent soudain des plus sérieux, et il s'adressa de nouveau a son vieil ami, mais sur un tout autre sujet que son fils.

-"Isaac, me permettrais-tu de tenter de purger ce vicieux poison de ton organisme, à l'aide des pouvoirs de ma déesse? Evidemment je ne peux pas te rendre les années que celui-ci t'a déjà volé, mais sans doute puis-je l'empêcher de t'en prendre davantage... Et n'aimerais-tu pas passer de plus d'années restantes possibles à voir ton fils devenir un homme qui te rende fier?"

L'archi-druide ce voulu silencieux lors des retrouvailles, il était légèrement perdu dans ses pensés toute en suivant en brin la conversation entre lui et le Templier. À la vu du fils de son ami, il l'avait saluer de même que Talmir, puis en silence contempla l'apparence manipuler de ce dernier, il avait grandit bien vite et la méthode user par le psion dépassait largement à quoi il s'était attendu. De plus la vision du demi-elfe lui fit rappeler son propre fils, le premier née de l'union entre lui et sa défunte épouse, mais à cet heure-ci Nathaniel avait depuis longtemps quitté la Cours Elfique, le coeur d'avantage noircie par la haine et la rancœur laisser depuis la mort de Naara.

La conversation allant d'un sujet à l'autre, tandis qu'ils parlèrent de plans à l'insu des Flactiens, Koizen ce leva doucement sans même le faire remarquer au autre, allant à son bureau pour y chercher quelques documents. Ces documents étaient un laisser passé pour la Cours Elfique, normalement attribuer au très rare invités issue d'une autre race que celle du peuple des elfes, mais dans ce cas-ci, cet lettre serais accompagner de la bénédiction de l'Archi-druide ainsi que sa recommandation autorisant le jeune fils d'Isaac de pouvoir passé sa vie au sein de la communauté, telle était le désire de son père. La conversation entre Talmir et Isaac allant de plus en plus belle, lorsque l'elfe termina sa lettre de recommandation avec le sceau de la famille Galanodel à sa fin, puis un moment de leurs conversation attirèrent l'attention du Champion de la Nature, il était question de purger le maléfique poison du corps du Maître Psion. Retournant s’asseoir tout en remettant en main propre les documents qu'il venait tout juste de conclure, il prie parole.

- Il est étrange de voir que moi-même je n'avais songé à cet solution, de plus qu'avec les pouvoirs accorder par les Dieux du bien, il nous serais peu être possible à moi et Talmir de te libérer de ce poison maléfique. Qu'en pense-tu Isaac, peu être que le temps n'a pas été fort en ta faveur mais garder ce qui te reste de ta longévité au cotés de ton fils ne te plairaient pas ? Avec les documents que je t'ai remis ces dernier t'autorise à toi et ton fils l'accès à la Cours elfique comme étant des Invités de marques et dans celui de ton fils, l'accès à la Citoyenneté elfique.

L'archi-druide salua poliment le jeune demi-elfe à nouveau, telle un semblable car pour lui qu'il soit née Humain, elfe ou encore bâtard comme disaient ses semblables, chaque être née avec la Lumière en son sein et il à le pouvoir de forger sa propre voie vers cet dernière. L'espoir, telle étaient en quoi l'archi-druide fondaient désormais ses nouveaux principes.

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Talmir n'est pas un imbécile, Isaac le savait complètement. Illianis avait vraiment seulement dix ans... Quand les deux champions lui proposèrent de lui purger de son poison, il senti une vague d'excitation venir de son fils, une énergie nouvelle et plus motivante. Le maitre psion ne pu retenir un sourire. Surtout quand Koizen autorisait finalement son fils a être citoyen de Cercess. Isaac senti son coeur s’alléger. Illianis allait enfin avoir droit à une maison. C'était le désir le plus chère du père. Bien sur il aurait a défendre cette demeure, mais Isaac espérait que ses propres actions auprès de plusieurs elfes lui reviendrait en sa faveur.

''Voilà qu'il me comblerait vraiment, une demeure pour lui et quelques années supplémentaires... Bon sang...''

Une larme à l'oeil, Isaac se frotta les yeux comme si la fatigue le prenait. Pourquoi n'a t-il pas été capable de rejoindre Talmir et Koizen avant? Pourquoi? Il était frustré d'un tel retournement du destin. Subtilement de retour en contrôle de ses sentiments, son fils le regardait comme si il comprenait. Mais oui, il comprenait. Le jeune demi-elfe mit une main solide sur l'épaule de son père.

''Heu... Je... j'accepte, je ne sais pas si un simple sort va suffire ou un rituel serait plus efficace... Dix ans dans un corps, un poison peut laisser des traces néanmoins...''

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Le templier sourit chaleureusement à son vieil ami.

-"En effet il pourrait être compliqué de purger complètement de votre organisme un poison aussi virulent, surtout après 10 ans passé à y faire des dégats..."

Il appuya ses prochaines paroles emplies de bonne humeur d'une claque amicale sur l'épaule du maitre Psionique.

-"Mais vous avez la chance d'avoir pour ami le champion de Talinas, qui est théurge versé dans l'Arcane autant que dans les mystères divins, et un Archi-druide de Vérénor aux pouvoirs tout aussi impressionnants! Je ne vois pas comment un poison, même bien installé dans votre corps depuis tant d'années, pourrait résister à la puissance combinée de deux déesses de lumières!"

L'elfe appuya du regard la bonne nouvelle pour son ami Isaac, toutefois il ce posait maintes questions en ce qui concerna ce poison, il était vrai qu'après si longtemps dans son organisme il serais peu être difficile de complètement l'enlever, mais ils devaient essayer. L'union de la guérison par la Nature et la Lumière devraient être très concluante selon lui.

- Alors mon ami, lorsque tu te sentira prêt nous procéderons à ta guérison, puisse les Déesses de bonté nous accorder leurs grand pouvoir en cet instant.

Il ce retourna vers le templier, lui souriant et devinant à la fois quel sort ils devraient user pour libérer leurs ami de ce fardeau. Koizen possédait le sort de délivrance des poisons et malédiction, avec l'appuis de sa déesse et de ses pouvoirs de Champion il ce doutais bien que son sortilège serait fort plus puissant qu'à l'époque.

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Illianis sentent la décision de son père, les laissa entre aînées, même si il savait que les deux divins champions n'aurait pas été déranger par la présence du demi-elfe, il ne voulait simplement pas assister. Il décida d'aller revoir Istari.

Isaac regarda son fils partir et son regard revint sur ses deux amis, il sourit.

''Allons-y? Qu'est-ce qui peut-être pire dans mon état après tout? Mourir, vous ne me laisserai pas partir facilement. Ahaha...''

Le psion resta sur sa chaise, incertain de comment ses amis allaient procéder.

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Le templier sourit de plus belle alors que son vieil ami leur donnait sa bénédiction pour tenter de le débarrasser du poison.

-"Eh bien dans ce cas, je suggère que nous commencions par sortir à l'extérieur... Les pouvoirs de Talinas sont toujours à leur plus fort sous la lumière du soleil, et bien que le temps soit très changeant aujourd'hui, au moment ou je suis entré le soleil était éclatant, et comme il s'est passé encore bien peu de temps, il doit toujours briller fort dans le ciel. Je commencerai ensuite par une simple prière de dissipation des maladies et des poisons, augmenté de ma puissance arcanique. Ce ne sera surement pas suffisant, mais il n'y a rien à perdre à tenter le coup, car si cela fonctionne nous n'auront pas eu a investir ni trop de temps, ni trop d'énergie pour atteindre notre but. Si cela n'est pas suffisant, comme j'en ai l'intuition, il nous faudra officier de concert un rituel pour augmenter la puissance de nos magies respectives... Pour cela il nous faudra un lieu isolé, pour ne pas être dérangé. Un lieu ou la lumière est présente sans trop d'obstacles, afin que ma puissance divine soit à son summum. Un lieu ou la présence de la nature est marquée, pour que Koizen puisse lui aussi en tirer un maximum de puissance... Y a-t-il une clairière isolée dans les environs? assez dégagée pour que le soleil y touche le sol en son centre sans que le feuillage des arbres ne soit sur sa route, mais assez petite pour que même en son centre l'énergie naturelle y soit abondante, grâce aux arbres environnant et à leurs racines? Et est-elle assez près pour que nous réussissions à nous y rendre avant que le soleil ne soit à son zenith? J'ai aussi, dans mes effets de voyage, plusieurs poudres, plantes et autres artifices qui pourront me servir à tracer un cercle de rituel pour concentrer nos efforts magiques... Il faudra simplement que j'aille les récupérer près de l'entrée ouest du campement avant que nous nous mettions en route si nous avons à le faire..."

À mesure qu'il parlait le regard du théurge se perdit dans le vague alors qu'il songeait déjà aux formes possibles du cercle de rituel qu'il aurait probablement à tracer, et aux avantages et inconvénients de chacun de ces modèles, afin de choisir le plus adapté à leurs besoins.

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Isaac écouta parler Talmir, il était perdu dans ses pensées. Juste l'écouter fatiguais le psion. Il venait tout juste d'arrivé. Son corps agée n'en pouvait plus déja. Il regarda les champions divins, il soupira mais garda le sourire.

Je ne connais pas trop les environ, donc, Koizen, tu connais plus les environs, moi je vous suis. Je suis désolé je suis plus fatigué que je n'aurais cru. Peut-on commencer bientot?''

Le maitre-psion pensa aux heures qu'un rituel pouvait prendre... Mais si la puissance conféré aux amis est si immense, cela ne devrai pas être si horrible.

Voyant son ami s'assoupir et perdre ses forces à vu d'oeil, du au courroux du poison, l'elfe fût pris d'une grande part de pitié pour son ami, cet homme avait déjà eux à traverser bien de sombres étapes dans sa vie et en avait vu de bien pire, beaucoup plus qu'un humain normal devrais en vivre. Sentant qu'ils devraient agir le plus tôt possible dans l'espoir de venir en aide à ce dernier, l'archi-druide invita ses compagnons à ce lever et ce diriger vers la sorti de la tente. Avant d'entamer la sorti, il expliqua rapidement à ces dernier qu'ils devrait ajuster son armure en cas d'éventuelle danger, nous ne sommes jamais assez prudents en ce temps de guerre leurs avait t-il dit. Il pris le temps de retirer de son support l'armure qui visiblement étaient en cuir, mais qui possédait toutefois un avantage caché. Elle était imbibé d'un matériaux connu sous le nom de la Manatite, ceci renforçant chaque morceau protégeant les endroits vitaux de son porteur.

Avec la force de l'habitude et la facilité de porter une armure légère, il la mis en un temps record. Il ne passait pas plus de cinq minutes qu'il avait déjà terminer d'ajuster les dernières sangle de cuir qu'il avait surmonter son armure de sa grande cape de fourrure blanche ainsi que sa couronne au panache de cerf. Il avait désormais tout l'air de ses semblables elfes sauvages, bien loin de ce que ses amis avaient l'habitude de voir lorsqu'il les fréquentais à l'époque. Sortant de la tente, voyant ses amis à l'extérieur l'attendre, il ordonna à sa garde rapprocher de partir ce changer dans les accoutrements habituelle, puis ce retourna vers ses amis.

- La route que nous allons emprunter n'est connu que de moi et des forestiers qui m'accompagne, rester toutefois à mes cotés et ne vous égarer point. La forêt peu vous paraître inoffensif à vu d'oeil, mais je puis vous affirmer que depuis quelques temps elle semble instable et menace de ce défendre contre toute intrusion dans son enceinte.

L'archi-druide regarda en direction de la forêt, demandant intérieurement la faveur de la Déesse de la Nature pour la traverser du bois car il sait que la nature recherche le plus possible sa stabilité d'autrefois, mais les coupes d'arbres à blanc causé par les Armées du monde connu avait considérablement affaiblie certains endroit ou autrefois la nature prospérait en maître. De cet vision l'elfe en fut attristé, le sort et la balance de la nature était constamment menacer, du moins bien plus qu'à l'habitude. Si seulement les Hommes ce forceraient à user de leurs bon sens pour préserver l'équilibre des ressources naturelles, en replantant ou en coupant stratégiquement des régions que les druides et spécialiste de la faune pouvant leurs désigner et ce sans danger de mettre la nature en péril. Hélas la race des Hommes ne semble pas en tant de guerre faire preuve de logique en ce qui concerne l'équilibre présente de Mère Nature, malgré les efforts ce certaines nations tentant de préserver au mieux les forêts et ressources, cela ne suffit pas toujours.

Sentant que sa Déesse lui accordait sa bénédiction, il vu revenir deux jeunes femmes elfes vêtu semblablement à l'archi-druide : Des armures de cuir mêlant la fourrure et les peintures tribal au visage, armée de lance et de bouclier. Ces femmes avait pour responsabilités de veiller sur le Champion de la nature en cas de problème, elles étaient former telle des soldats obéissant au doigt et à l'oeil les ordres du Cercles des Druides, ne répondant qu'à celui-ci et à nul autre recommandation, pas même celle de la Cours Elfique. Leurs visage sévère et intimidant répondait exactement à quoi l'on s'attendant d'une escorte, de plus elle ne parlaient que la langue des druides ou encore l'elfique pour communiquer leurs informations à leurs protéger. Dans la langue secrète des druides, Koizen leurs expliqua l'enjeu de leurs mission et présentait rapidement chaque personne, leurs rappelant qu'ils sont les invités de marques et d'honneur au sein du campement ainsi qu'à fort respecter en tout temps. L'elfe expliqua rapidement à ses amis en quoi consistait cet garde rapprocher et son rôle et de bien leurs pardonner cet imposition malgré que non nécessaire selon lui pour la noble tâche qu'ils allèrent accomplir. Puis tous ce mirent en route en direction de la forêt qui longeait le campement de la Cours Elfique.

Une fois entré dans la forêt, tous puis y sentir une forte force s'y en émergé, l'arrivé du Champion éveilla la forêt, la rendant en apparence plus forte et plus grande. Dans la lumière du jour accompagnant le Dévot de la Lumière, l'éclairage du décors même en fût des plus grandiose, l'on pouvais clairement y voir chaque détail et s'émerveiller devant chaque second ou la nature canalisait l'énergie de la lumière pour ce réchauffé, ce nourrir et vivre à travers elle. Un sourire de satisfaction apparurent au lèvre du Champion, ce spectacle l'émerveilla à chaque fois et d'avantage lorsque Talmir l'accompagnait dans ses promenades et ses songes. Ils firent durant près d'une demi-heure un trajet fort complexe à travers la forêt, serpentant et déviant souvent d'endroit, mais sachant toujours dans quel direction ce diriger. À fur et à mesure qu'ils avançaient dans la forêt, la nature même semblais devenir plus verte et plus épaisse, jusqu'à ce qu'ils arrivèrent à un endroit fort dégager au beau milieux de la forêt. À cet endroit précis s'y trouvait de grande colonne de pierre, s'élevant vers les cieux et plombait l'ombre du soleil sur les compagnons, ces pierres étaient disposer en cercles et surmonté de d'autre pierres. Chaque Roc était graver de symbole druidique et elfique à son approche, brillant d'une légère lueur verte, l'archi-druide fit stopper la troupe.

- Nous sommes enfin arrivé. Mes amis j'ai l'honneur de vous présenter l'un des plus rare domaines druidique que j'ai connu à ce jour, un anciens temple dédier à Vérénor.

Il s'avança devant le monument, tandis que ce dernier à chaque pas que l'archi-druide avançait fit s'intensifier les lueurs vertes émergeant des runes des pierres. Il désigna que c'est ici à la splendeur du Soleil et de la Lumière, au sein du temple de Vérénor qu'ils essayerons de guérir la malédiction du Psioniste.

Nombre de messages : 144 Age : 43 Date d'inscription : 13/05/2009

Le templier hocha la tête d'un air d'approbation en contemplant le lieu choisi par l'archidruide. Ce serait l'endroit idéal.

-"Voici comment je pense que nous devrions procéder... Premièrement je vais tracer un puissant cercle de rituel arcanique, capable de neutraliser toutes les propriétés magiques des objets placé en son centre, tant que l'objet reste dans le cercle. Ce rituel est assez puissant pour neutraliser même certains artefact... Quand ce sera fait Isaac, je vous demanderai de prendre place en son centre. Tant que vous vous y trouverez, la portion du poison ayant été augmenté par la magie devrait devenir inopérante, ne lui laissant que sa virulence naturelle."

Le theurge se tourna ensuite vers Koizen

-"À partir de ce moment, j'aimerais que vous tentiez de bloquer l'interraction du poison avec l'organisme de notre ami grâce à vos pouvoirs... Après tout, tous les poisons existant ont une base naturelle, qu'elle soit d'origine minérale, animale ou végétale..."

-"Une fois que vous aurez bloqué l'effet et la progression du poison, j'invoquerai les divins pouvoirs de Talinas pour rendre toute sa vigueur physique et mentale à Isaac."

Talmir regarda le maître psionique dans les yeux avant de poursuivre.

-"Alors que je restaurerai et maintiendrai votre vigueur, vous devrez utiliser le grand contrôle que vous avez sur votre organisme pour tenter de rassembler tout le poison présent dans votre corps, et ce aussi profondément qu'il y soit enfouis, en un point unique... Ensuite nous concentrerons tous nos pouvoirs pour le détruire...."

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Isaac comprit le dialogue elfique, même si oralement, il avait une énorme accent. Ils se firent escorter dans un endroit pratiquement envoûtant au premier regard. Il ecouta Talmir et son idée, tout semblait logique et bien concorder. Mais évidemment, le templier devait initier son cercle de rituel.

Daccord... si sa peut se faire rapidement, j'ai hate de retrouver mon fils...

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» Un nouvelle espoir pour le village de Minor ( Calendhrim)